Archive pour janvier, 2008

Le cubisme …

La date point de départ du cubisme est incontestablement 1907.
L’artiste point de départ sans aucun doute Pablo Picasso.
L’oeuvre qui marque le départ de cette aventure est Les Demoiselles d’Avignon.
Cette merveilleuse aventure sera menée conjointement par Pablo Picasso et Georges Braque. Ce mouvement va associer plusieurs artistes peintres et sculpteurs qui vont offrir une riche diversité entre 1911 et la seconde guerre mondiale.
Ce mouvement est crucial dans l’histoire de la peinture. Effectivement, c’est un mouvement qui est élaboré avec l’intention d’un jeu intellectuel – et oui – et non d’un manifeste esthétique. Je m’explique plus simplement: un tableau cubiste montre ce que l’on sait des choses et non ce que l’on en voit d’un point de vue donné. L’étude approfondie des oeuvres de Paul Cézanne permet d’élaborer un langage qui adapte la figuration à l’espace plan du tableau. Il y a trois étapes dans ce mouvement:
le CUBISME CEZANNIEN ( 1907 – 1909 ) – le CUBISME ANALYTIQUE ( 1909 – 1912 ) qui va multiplier les points de vue et décompose géométriquement le fond et le sujet au point de rendre la figuration illisible – le CUBISME SYNTHETIQUE ( 1912 – 1914 ) qui va introduire les papiers collés.
C’est le salon de Indépendants qui va présenter le cubisme au public pour la première fois ( 1911 )

Publié dans:Non classé |on 31 janvier, 2008 |Pas de commentaires »

Le Fauvisme et ses caractéristiques …

Bien entendu, les nus et portraits, les paysages, les sujets, restent figuratifs mais ont une représentation simplifiée.
Le tableau fauve, nie la profondeur et les volumes, et s’accorde en quelque sorte à la planéité du support.
La ligne modifie les formes.
La nature est simplement si je peux dire, exprimée par des plages de couleur pures, très souvent violentes, et d’une rare luminosité intense.
L’apprêt du blanc renforce l’intensité des couleurs.
Les émotions sont traduites par l’emportement de la touche.

Publié dans:Non classé |on 29 janvier, 2008 |Pas de commentaires »

Le Fauvisme …

Le Fauvisme est un mouvement pictural Français (1905-1907). Ce style doit simplement son appellation au fait qu’un journaliste qualifie ses représentants de « fauves ». Ce journaliste est Louis Vauxcelles.

Les artistes ont le désir profond de séparer la couleur de sa référence à l’objet, et favorisent ainsi la libération de la force expressive. Ils réagissent dune manière très provocatrice contre les sensations visuelles de l’impressionnisme.
Le fauvisme va se référer a la poésie des tons de Paul Gauguin et à la libération du trait dans l’oeuvre de Toulouse Lautrec.
L’esthétique fauve est marqué par l’inspiration de arts africains et océaniens. Cette inspiration se développe en relation avec celle des expressionnistes, en rejetant bien entendu le contenu tragique.

Les Fauves sont montrés du doigt et, critiques et public soulèvent envers eux beaucoup d’hostilité.

Ils sont néanmoins soutenus par quelques marchands comme par exemple Berthe Weill et également Ambroise Vollard.

Publié dans:Non classé |on 28 janvier, 2008 |3 Commentaires »

Danseuses imaginaires …

La danse symbolise la liberté, les mouvements, l’esprit, le corps, l’imagination, l’extériorisation de soi-même vis-à-vis du monde extérieur. L’esprit se libère de son chaos intérieur, ses inhibitions s’anéantissent …

La sérénité ressentie à ce moment là explose et nous ne faisons plus qu’un, osmose totale avec l’imagination. On crée une oeuvre imaginaire composée de mouvements de toutes sortes de définitions personnelles.

La création d’une oeuvre quel que soit son origine : danse, peinture, sculpture, musique est le résultat du « strip-tease » le plus difficile qu’il soit car c’est celui de l’âme.

Publié dans:Mon livre "Mes émotions" |on 27 janvier, 2008 |Pas de commentaires »

Danseuses imaginaires …

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Publié dans:Mes oeuvres |on 27 janvier, 2008 |Pas de commentaires »

Naissance …

La peinture naît sous le regard, au moment même du regard.

Alors, derrière le terme monochrome, le long des tracés lents et larges, s’éveille la lumière, ses éclats tranchants, ses recouvrements voluptueux, ses contre-jours implacables, ou ses vibrations les plus ténues.

Lieu où viennent se faire et se défaire des sens, la toile, au mépris de l’illusion ou de la représentation, ne laisse agir que des rapports de couleurs, de textures, ce qui en toute légitimité, lui serait propre, face à la liberté, rigoureusement respectée de celui qui la regarde.

Publié dans:Mon livre "Mes émotions" |on 26 janvier, 2008 |Pas de commentaires »

Un petit mot tout à fait personnel …

Petit mot qui n’a rien à voir avec ma passion, la peinture.

Ce soir j’ai compris qu’il ne faut jamais juger une personne sans la connaître vraiment. Avant de juger, il faut comprendre, simplement comprendre …

Publié dans:Partager |on 25 janvier, 2008 |1 Commentaire »

L’expressionnisme et ses caractéristiques.

Le support est le plus souvent apparent. Les oeuvres sont très souvent oppressantes ou agressives et présentes une humanité dérisoire et pathétique. C’est sans aucune pudeur que les expressionnistes exposent la misère quelle soit physique ou morale. Et expriment avec instinct l’érotisme et la mort. Ils peignent le plus souvent des sujets mythiques en mettant toute la concentration sur le visage et suppriment l’objet
Ce sont les personnages qui envahissent le premier plan et la composition a souvent une cadence heurtée.
La représentation très sommaire suggère le drame par la déformation et l’agrandissement de certains éléments anatomiques. Le dessin délimite les formes et les lignes brisées exacerbent l’émotion.
Les oeuvres présentent des accord colorés violents et des tons salis. Les couleurs dominantes sont le noir et le rouge.
Le coup de pinceau est très brutal et laisse des traces vigoureusement empâtées et rugueuses.

Publié dans:Non classé |on 23 janvier, 2008 |11 Commentaires »

L’expressionnisme …

Entre 1900 et 1925 se développa l’expressionnisme et plus précisément en Allemagne et dans les pays Germaniques.
Cette nouvelle tendance fut scindée en deux groupes célèbres : l’association DIE BRUCKE et la NEUE KUNSTLERVEREINGUNG qui changea de dénomination et devint en 1911 de BLAUE REITTER.
Le « terme » si l’on peut s’exprimer ainsi commence a être exprimé d’une manière plus commune vers 1910.

Toutes les préoccupations purement plastiques vont être tout simplement mises de côté ou plus précisément les artistes vont s’en écarter et rejettent à ce moment précis la représenation insouciante de la réalité.
« le renouveau ne doit pas être celui des formes mais la renaissance de la pensée » selon les dires du BLAUE REITTER.

L’art était ( et est toujours aujourd’hui) le moyen d’exprimer et d’exterioriser des névroses personnelles et individuelles et une révolte inconsciente face à la guerre qui se prépare et face au malaise économique qui sévit à cette période en Europe, qui est à l’aube de la guerre en 1914.

Le mouvement est annoncé par Vincent Von Gogh et par le norvégien Edvard Munch. Pour l’un, une touche passionnée pour l’autre une peintre angoissée.

Le mouvement sera brusquement interrompu par le pouvoir nazi qui considère l’expressionnisme allemand comme « dégénéré ». De par ce fait, de nombreux peintres partent et s’expatrient vers le Etats Unis.

Là le mouvement s’épanouit et les collectionneurs et critiques d’art mettent l’expressionnisme à l’honneur ( après la seconde guerre mondiale ).

Publié dans:Non classé |on 18 janvier, 2008 |Pas de commentaires »

Les mouvements dans la peinture a partir du XX siècle

Une énorme partie de la vie contemporaine de la peinture …

Publié dans:Non classé |on 18 janvier, 2008 |Pas de commentaires »
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